On ne sait pourquoi, mais les récits de tortures que des humains font subir à d’autres humains ont toujours fascinés les gens tranquilles. Chaque fois on se dit « Comment peut-on être si cruels ? «, et on regarde, si c’est sur un écran, ces horreurs entre les doigts écartés de ses mains qu’on a placées devant les yeux pour s’épargner de ce qui nous provoque une attraction/répulsion comparable à celle des enfants qui réclament qu’on leur raconte « Le Petit Poucet «, tout en sachant que ça va leur foutre une trouille noire.
Attardons-nous donc sur les horreurs subies par les Conquérants de la Nouvelle-France, presque tous Jésuites.
Le problème des Jésuites est qu’ils n’ont jamais pu s’empêcher d’essayer de convertir des peuplades qui ne leur avait rien demandé. Ils en ont fait chier, des Indiens, avec leur morale, leur monothéisme, leur volonté d’imposer des moeurs qui ne leur convenaient pas !
Commençons par un allié Huron des Curetons de Jésus :
Eustache Ahatsistari : dont on devine immédiatement que le prénom ne lui a pas été donné par ses parents ! Précieux allié des Jésuites, car chef de tribu, ce guerrier avait été capable de mettre en fuite 300 Iroquois avec seulement une cinquantaine de ses Hurons.
Mais le voici un jour qui se fait gauler par des Iroquois, en compagnie de trois curetouzes de ses amis.
Pendant le trajet jusqu’au camp iroquois, on a commencé par lui couper les deux pouces, on a enfoncé une baguette pointue en bois dans les deux plaies sanglantes et hop ! jusqu’au coude !
Paraît-il qu’Eustache n’aurait pas bronché pendant qu’on lui prodiguait cette douceur....
Arrivé là-bas, on a décidé de le faire cramer, lentement, avec du bois qui se consummait au lieu de brûler franchement. Ca prend son temps mais le résultat est garanti....
Et voici maintenant le célèbre Jean de Brébeuf. C’est lui qui avait fait chier Etienne Brulé pour l’aider à fabriquer son dico de la langue huronne.... Infatigable, il avait créé plusieurs missions.
Il était déterminé à convertir les Iroquois, sans vouloir admettre que ça se terminerait mal pour lui. Les Jésuites ont toujours été prétentieux et têtus. Même les Hurons, à un moment, avaient renoncé à voyager, tellement ils avaient la trouille de tomber sur leurs ennemis, pas fous les Hurons !.... Donc ça a fini que Brébeuf et des copains jésuites ont été fait prisonniers.
Total : pour commencer, 200 coups de bâtons en cadeau pour le curé. On lui arracha la peau puis la chair de ses membres jusqu’aux os, en prenant soin d’asperger ensuite les plaies avec de l’eau bien bouillante... Ceci pour ridiculiser le sacre du baptême.... Une petite déco : un collier de lames incandescentes de haches pour lui donner chaud autour du cou et sur la poitrine et même sur le ventre !... Ce grand couillon continuait à prier à voix haute, et bien tant pis pour lui on lui a arraché les lèvres au couteau ! Pour terminer, car il fallait bien terminer, on l’a scalpé tout vivant et on lui a arraché le coeur alors qu’il respirait encore. On a mangé ce coeur pour avoir son courage mais là, Brébeuf il regardait plus. Car il avait fini par mourir, ce qui se comprend....
Un inconscient têtu comme une mule : le père Isaac Jogues, dans la série « J’en redemande alors que j'avais rechaussé mes pantoufles... «
Attrapé par les Iroquois, le voilà qui subit 13 mois de tortures de toutes sortes, et puis on décide qu’on va le faire cramer. Cependant des Calvinistes amis des Iroquois, oubliant leurs préjugés religieux,on ne sait jamais, ils espéraient convertir le Jésuite, ce qui est impensable, le firent s’enfuir.
Il revint en Europe où le Pape lui demanda de célébrer une messe, grand honneur. Il eut du mal à tourner les pages de la Bible à cause de ses doigts absents, laissés en terre Iroquoise.
Et bien, au lieu de couler des jours heureux au Vatican, il demande, ce con, à retourner prêcher chez les Iroquois, et retrouve ses anciens bourreaux qui l’accueillent avec bonheur, car franchement ça fait pas rancunier que de retourner voir ceux qui t’ont torturé un an. Cependant, au bout d’un moment de chaude amitié, voilà que certains Iroquois tombent malades.. « C’est la faute à Isaac ! « clament-ils « il se venge comme ça de ce qu’on lui a fait autrefois... «
Allez hop, à poils le curé ! Tortures, on lui taillade le corps entier avec des couteaux, on le tape à coups de bâton... Bon allez, on va pas y passer un an, cette fois, hop on le décapite avec un tomahawk, on lui embroche la tête sur un bâton et on la fixe à une palissade. Le lendemain, ce sera le tour du curé qui n’avait pas voulu quitter son chef...
Il y en eut bien d’autres, le truc étant que si jamais des Iroquois t’attrapaient, ils t’emmenaient pas à Las Vegas ou à Eurodisney. Et aussi qu’ils te tuaient pas vite fait en une fois. Ils faisaient durer le plaisir...
Attardons-nous donc sur les horreurs subies par les Conquérants de la Nouvelle-France, presque tous Jésuites.
Le problème des Jésuites est qu’ils n’ont jamais pu s’empêcher d’essayer de convertir des peuplades qui ne leur avait rien demandé. Ils en ont fait chier, des Indiens, avec leur morale, leur monothéisme, leur volonté d’imposer des moeurs qui ne leur convenaient pas !
Commençons par un allié Huron des Curetons de Jésus :
Eustache Ahatsistari : dont on devine immédiatement que le prénom ne lui a pas été donné par ses parents ! Précieux allié des Jésuites, car chef de tribu, ce guerrier avait été capable de mettre en fuite 300 Iroquois avec seulement une cinquantaine de ses Hurons.
Mais le voici un jour qui se fait gauler par des Iroquois, en compagnie de trois curetouzes de ses amis.
Pendant le trajet jusqu’au camp iroquois, on a commencé par lui couper les deux pouces, on a enfoncé une baguette pointue en bois dans les deux plaies sanglantes et hop ! jusqu’au coude !
Paraît-il qu’Eustache n’aurait pas bronché pendant qu’on lui prodiguait cette douceur....
Arrivé là-bas, on a décidé de le faire cramer, lentement, avec du bois qui se consummait au lieu de brûler franchement. Ca prend son temps mais le résultat est garanti....
Et voici maintenant le célèbre Jean de Brébeuf. C’est lui qui avait fait chier Etienne Brulé pour l’aider à fabriquer son dico de la langue huronne.... Infatigable, il avait créé plusieurs missions.
Il était déterminé à convertir les Iroquois, sans vouloir admettre que ça se terminerait mal pour lui. Les Jésuites ont toujours été prétentieux et têtus. Même les Hurons, à un moment, avaient renoncé à voyager, tellement ils avaient la trouille de tomber sur leurs ennemis, pas fous les Hurons !.... Donc ça a fini que Brébeuf et des copains jésuites ont été fait prisonniers.
Total : pour commencer, 200 coups de bâtons en cadeau pour le curé. On lui arracha la peau puis la chair de ses membres jusqu’aux os, en prenant soin d’asperger ensuite les plaies avec de l’eau bien bouillante... Ceci pour ridiculiser le sacre du baptême.... Une petite déco : un collier de lames incandescentes de haches pour lui donner chaud autour du cou et sur la poitrine et même sur le ventre !... Ce grand couillon continuait à prier à voix haute, et bien tant pis pour lui on lui a arraché les lèvres au couteau ! Pour terminer, car il fallait bien terminer, on l’a scalpé tout vivant et on lui a arraché le coeur alors qu’il respirait encore. On a mangé ce coeur pour avoir son courage mais là, Brébeuf il regardait plus. Car il avait fini par mourir, ce qui se comprend....
Un inconscient têtu comme une mule : le père Isaac Jogues, dans la série « J’en redemande alors que j'avais rechaussé mes pantoufles... «
Attrapé par les Iroquois, le voilà qui subit 13 mois de tortures de toutes sortes, et puis on décide qu’on va le faire cramer. Cependant des Calvinistes amis des Iroquois, oubliant leurs préjugés religieux,on ne sait jamais, ils espéraient convertir le Jésuite, ce qui est impensable, le firent s’enfuir.
Il revint en Europe où le Pape lui demanda de célébrer une messe, grand honneur. Il eut du mal à tourner les pages de la Bible à cause de ses doigts absents, laissés en terre Iroquoise.
Et bien, au lieu de couler des jours heureux au Vatican, il demande, ce con, à retourner prêcher chez les Iroquois, et retrouve ses anciens bourreaux qui l’accueillent avec bonheur, car franchement ça fait pas rancunier que de retourner voir ceux qui t’ont torturé un an. Cependant, au bout d’un moment de chaude amitié, voilà que certains Iroquois tombent malades.. « C’est la faute à Isaac ! « clament-ils « il se venge comme ça de ce qu’on lui a fait autrefois... «
Allez hop, à poils le curé ! Tortures, on lui taillade le corps entier avec des couteaux, on le tape à coups de bâton... Bon allez, on va pas y passer un an, cette fois, hop on le décapite avec un tomahawk, on lui embroche la tête sur un bâton et on la fixe à une palissade. Le lendemain, ce sera le tour du curé qui n’avait pas voulu quitter son chef...
Il y en eut bien d’autres, le truc étant que si jamais des Iroquois t’attrapaient, ils t’emmenaient pas à Las Vegas ou à Eurodisney. Et aussi qu’ils te tuaient pas vite fait en une fois. Ils faisaient durer le plaisir...